the old bars with old alcool n° 1

ici on sert que de l'ancien. Vieux Rhum, whisky de 15 ans d'âge...

pour moi un vieux café

2!!!!!!

genre qui a bouilli 2 heures sur la cafetiere qui et degeu et qui t'envoie aux chiots dans les 5 minutes.

Ben le meme pour moi alors

a peu près celui... j'ai des problèmes gastriques à mon age y a plus rien de correct

celui là même qu'est au fond de l'atelier sur poele à bois et huile de vidange réunis!!! c'est pas non plus le dernier salon de thé ou l'on cause!!!!

tu peux toujours foutre une gouliche de jack si c'est vraiment trop degeux

ben le tiroir est pas si grand que ça! donc faut choisir les essentiels, style le coca pour assemblages pratiquement irrécupérables, le café sur le poele, ça prend pas de place, le pack de 24 pour faire viril, la flotte pour la soif et la boutanche de.... pour les potes de passage!

de passage... en général c'est rare vu qu'après il n'arrive plus à se lever !!!

oh le Jack D. n'etait pas mal comme idée en plus son éminence n'est pas encore de retour on peut en profiter d'en avoir

oh p..... j'avais pas pensé à lui!!! c'est vrai que c'est le genre de truc qui fini par couter cher quand il est dans le coin!!!

moi je veux bien le même café SVP... faut que je me tiende éveillé!!

ce coup ci, fini pas le pot ou tu vas passer la journée sur les chiches!!!!

il reste un vieux café tout moisi ici? ake les vieux alcools forts ça me plait que moyennement

toujours sur le poêle!!! c'est là qu'il cuit!!!

bon ben donnes moi en un, mais cherche bien au fond du poele... je veux du goudron du vrai

arrêtes malheureux tu ne supportes déjà pas les alcools pour les grandes personnes alors un café d'homme un vrai tu ne vas jamais t'en remettre !

t'as peur qu'il devienne nerveux ?

non mais à force c'est du gâchis et ca m'énerve

enfin là, le bouillon, c'est pas sûr que ce soit du gachis, à la limite, ça peut être une bonne oeuvre!!!

pepettedu67 a écrit:

arrêtes malheureux tu ne supportes déjà pas les alcools pour les grandes personnes alors un café d'homme un vrai tu ne vas jamais t'en remettre !

un cafe, un vrai bine dégeu, çà fout la chiasse

ouai et pis y risque de perdre quelques kilos!!!! sur qu'après çà la fazer le reconnaitra plus!!!

sacré uggy, manquerait plus qu'il achete un oural

i

faudrait qu'il achète un stock de graisse pour remplacer l'huile, parait que des fois, ça marche!!!!

oural, elles sont tellement en panneque parfois elles tombent en marche

mais c'est rare...

mon pote en est à sa deuxième boite, et il a pas encore 5 000 bornes! mais maintenant il met de l'huile pouds lourd et parait que ça va mieux!!!

j'avas entendu que c'etait le seul truc a peu pres normal la dessus,la boite

ben non la sienne a explosée a même pas 3 000 bornes!!!! le truc le plus drôle la dessus c'est les jantes, ells sont soudées décalées!!!

les oural, c'est drole quand c'est les autres qui roulent avec, c'est tout

en même temps quelle idée de rouler la dessus !

pepettedu67 a écrit:

en même temps quelle idée de rouler la dessus !

c'est pas une idée, c'est un mode de vie qu'y disent

aux eleph j'ai rencontré des mecs de nantes en oural. Ils ont mis une semaine^pour venir

environ 1500 bornes: calcules la moyenne

avec des motos neuves enplus

bon c'atai un oeu des bobos qui se la jouaient aventurier à 2 boules avec leurs motos toutes neuves.
Ils avaint le total look avec la chapka et la vodka

enfin bref

joglu00 a écrit:

pepettedu67 a écrit:

en même temps quelle idée de rouler la dessus !

c'est pas une idée, c'est un mode de vie qu'y disent

aux eleph j'ai rencontré des mecs de nantes en oural. Ils ont mis une semaine^pour venir

environ 1500 bornes: calcules la moyenne

avec des motos neuves enplus

bon c'atai un oeu des bobos qui se la jouaient aventurier à 2 boules avec leurs motos toutes neuves.
Ils avaint le total look avec la chapka et la vodka





d'un autre coté, ça dépasse péniblement les 80 à l'heure!!!

enfin bref

fais plus calme ici au moins y a pas de jeunes puceaux en mal de sensation !

fais gaffe aux vieux lubriques!!!
même pas vrai, ici on parle de choses sérieuses, pas le temps de s'emmerder avec de vulgaires histoires de kul

bon on v aa la jurabik ou pas.

enfin moi j'y va en tout cas

c'est quoi la jurabike ?

moi je n'ai pas de side donc la jurabik si c'est les conditions dantesques qu'il y a déjà eu je ne peux pas y aller. Et puis avec mes rhumatismes ce genre de concentre c'est carrément déconseillée !

et si tu mets un bonnet ?
salut mamzelle!! un jus, vite, j'vais péter un plomb si ça continue!!!!
pour les concentres conditions extrèmes, je propose d'en faire une à Krafft devant mon garage! vu le temps qu'il fait en ce moment, on devrait se geler les cou....des assez vite!!!

commando a écrit:

et si tu mets un bonnet ?
salut mamzelle!! un jus, vite, j'vais péter un plomb si ça continue!!!!
pour les concentres conditions extrèmes, je propose d'en faire une à Krafft devant mon garage! vu le temps qu'il fait en ce moment, on devrait se geler les cou....des assez vite!!!

oui mais bon toi tu serais encore cap de te casser pendant la nuit pour aller te réchauffer les glaouillis

moi, pour me réchauffer, je suis capable de tout, et même pire que ça!!!

http://jurabik.free.fr/

Allez, c’est parti ! Suivez-moi, je vous emmène au rassemblement du JURABIK (très fun) qui se déroulait au " Camping Motards " de CHOUX (un petit bled à côté de St Claude dans le Jura ) les 01 et 02 décembre 2001.

Une bonne dizaine de copains side-caristes des Vosges, d’Alsace, de Haute Saône, du Doubs et du territoire de Belfort se rendaient à ce rassemblement mais il fut difficile de coordonner nos plannings pour partir tous ensemble. C’est donc Daniel (FJ/Comète) et Thierry (15 Gold/Jewell) qui ont partagé la route avec moi pour cette sortie entre mecs.

Après 250 bornes de ballade à travers les paysages du Haut-Doubs et du Jura, nous voilà enfin arrivés sur le site qu’on pensait enneigé mais manque de pot, tout a fondu la semaine avant la concentr’.

A notre grande surprise, le Webmaster du site www.asphalte-libre.com: Jul’(Dniepr commando souvent en panne), est déjà arrivé. Il faut dire qu’il était parti la veille de Belfort avec Manu, son dépanneur embarqué et ex-mécano stagiaire chez Kawasaki France (c’est plus rassurant qu’Europe assistance).

Nous plantons les tentes et allons discuter devant un bon vin chaud en attendant tranquillement nos copains. L’ambiance est chaleureuse malgré la fraîcheur qui tombe.

C’est au total plus de 25 side-cars et une quarantaine de solo de toute race qui auront fait le déplacement. Beaucoup d’Harley dont une splendide WLA dans son jus qui attirait bien des convoitises. A noter la présence d’une hollandaise du " MC Orgasmous " (tout un programme).

Après le repas tant attendu : bique salée et patates (ça sent fort mais c’est super bon!!), c’est notre Johnny national (ou plus précisément une version réplica) qui fut chargé de nous faire digérer avec un petit concert bien sympa.

La fiesta s’est prolongée jusque tard dans la nuit à grand renfort d’antigel (eh oui, c’est l’hiver).

Le dimanche matin, après une nuit un peu fraîche et surtout trop courte, tout le monde était en forme pour la ballade. Seul le Dniepr a montré une certaine réticence à redémarrer tout comme l’ami Jean Luc qui avait un peu abusé de la mirabelle.

Nous avons fait une petite boucle de 40 bornes qui nous a conduit à une fromagerie histoire de faire le plein...de Morbier, puis retour au camping pour remballer.

Un petit repas express et il est déjà l’heure de penser au retour. Tous les side-caristes présents souhaitent revenir en été avec toute la famille car le coin est vraiment super. Frisé (Guzzi/Héchard), Christophe (K100/Panda), Didier (FJ/Comète), Christian (15 Gold/Héchard), Jean-Luc (K100/Comète), Jul (Dniepr), Wini (XS/Jewell), Daniel (FJ/Comète), Thierry (15 Gold/Jewell) et tous les autres, c’est quand vous voulez pour s’improviser, aux beaux jours, tous ensemble, une petite ballade, pique-nique et camping sur un week end ? Avis aux candidats !

Notre retour sur Montbéliard s’est bien passé et la douche suivie d’une bonne nuit ont été les bienvenues.

De ce week end, il nous reste encore une méchante odeur de fromage dans le frigo et quelques photos que je vous propose de découvrir.

A bientôt et appel de phare du K12RS/EML

et le recit d'une bande de fondus en oural justement, du haut rhin

turé de la liste side cars: ça donne envie, de pas rouler en oural

bonne lecture

Notre hivernale à Choux,

Comme vous avez pu le lire dans certains posts, les membres du Molotov
Boxer Club De Bantzenheim ont réintégré leurs domiciles respectifs
après avoir vécu un enfer sur la route du retour de Choux. J'y
reviendrai à la fin de mon récit.

Retour en arrière, nous sommes le vendredi 25 novembre 2005, il est 13
h 00, les moteurs de 3 attelages tournent dans la cour et les chevaux
attendent d'être lâchés. Dominique est présent sur son Chang Jang 750
latéral , Matterne sur son Ural Inland 650 culbuté et moi je chevauche
mon Dnepr K750 latéral. Gérard nous rejoindra plus tard au bivouac
avec femme, enfant, et le toutou.

Le sol est couvert d'une pellicule de neige, l'air est vif, le ciel
est gris, tous ces indices nous laissent présager de belles chutes de
neige.

Pour faire son itinéraire, Matterne a pris l'option de nous faire
passer par les plus petites routes, en faisant au plus court. C'est
ainsi que nous nous sommes retrouvés sur les splendides routes
enneigées du Sundgau Alsacien, du Territoire de Belfort du Doubs puis
du Jura. Un fort vent de face, la neige à l'horizontale, et la
puissance de nos machines (environ 20/25 CV) font que notre
progression est plutôt lente. Au niveau de Pontarlier, nous retrouvons
Gégé avec sa troupe sur son Ural Ranger à moteur BMW, il est déjà plus
de 18 heures, et il faut penser à trouver un lieu de bivouac. La nuit
est épaisse, le froid se fait mordant, la neige a redoublé de
violence, on ne distingue plus le bas-côté de la route, les casques
s'embuent, gèlent, les dents claquent, il faut trouver une solution.
Arrêt du convoi devant un hôtel qui propose des nuits au chaud avec
douches, TV, petit-déjeuner pour 33 Euros la chambre. 2 chambres à 6,
ça nous ferait du 11 Euros par tête, mais c'est pas l'objectif du
week-end, alors Dominique et Matterne partent en recherche d'un
terrain plat abrité du vent sur les rives du lac de Saint Point pour
passer la nuit. Avec l'accord du propriétaire, nous nous installons a
côté d'une menuiserie. Il nous est même permis de faire du feu, mais
trop fainéants pour faire du bois et par crainte de rester sous le
vent, il n'y en eu point. C'est à l'abri d'une avancée de toit que
nous démarrons les réchauds à essence, les bleuets au gaz ne
fonctionnent plus, il fait trop froid… Ce soir-là, au menu il y avait
une super soupe de lentilles avec de bonnes saucisses, du fromage, des
rillettes, du pain frais voir gelé, et bien sûr de nombreux litres de
vin chaud pour tenir la nuit.

Perception des duvets, et dodo. Pas trop long le dodo à cause du froid
et de la route à reprendre après démontage du bivouac. Au petit matin,
le thermomètre est à –13°C. C'est les doigts engourdis par le froid
que nous prenons un petit-déjeuner de camionneur et que nous replions
le bivouac pour chevaucher nos fiers destriers en direction de Choux.

Ce samedi matin, le ciel est clair, un grand soleil nous éblouit sur
la route de Mouthe, le paysage est fantastique sous les paquets de
neige, les motos ronronnent de plaisir, elles adorent les températures
négatives en se rappelant leur jeunesse en Russie… Nous faisons une
halte sous le soleil dans une courbe de la route qui nous conduit à
Saint-Claude. Les automobilistes sourient en nous voyant, ils doivent
se dire qu'on est fou. Plus que 40 km et nous serons à Choux. Les
derniers kilomètres se feront à un train de sénateur sur une route
complètement couverte d'une épaisse couche de neige compactée,
glissante à souhaits. Et, juste après la traversée de Choux, arrivée
sur le lieux du Jurabik 2005 après avoir parcouru 252 kilomètres.

L'accueil de Jeannot, de Jacquotte et des quelques motards présent
nous donne le ton de ce que sera cette hivernale, une réussite totale.

Le Molotov installe son campement, tout en surveillant la cuisson du
couscous de midi. Le repas est avalé rapidement pour nous permettre de
discuter avec les motards présents et assister à l'arrivée des motards
inscrits. Il y a des solos, des sides de toutes origines, bref de quoi
alimenter bien des conversations. Il y a des arrivées moins discrètes
que d'autres (coucou Milka) et des arrivées qui passent presque
inaperçues, mais tout le monde se retrouvera.

L'organisation est hyper top, avec le pointage des présents, la
distribution des tickets repas, des médailles (différentes entre les
pilotes et les passagers) et des rondelles (monnaie officielle au
Jurabik 2005) pour le paiement des boissons.

Notre coin feu sert de lieu de rencontre, et c'est là que Jeannot nous
cherche pour l'apéro concocté par ces soins et ceux de ces amis qui le
seconderont tout le week-end, jusqu'à pas d'heure et même plus s'il le
faut. Ce n'est pas seulement un apéro, c'est une immersion dans un
monde de bonheur que nous font vivre les organisateurs. Un orchestre
Rock arrive, et, malgré le froid très vif , -10°C sous le chapiteau,
ils ont joué un répertoire très varié sous les vivas de la foule en
délire.

Arrive notre premier repas au Jurabik. Alors là, c'est à se taper le
cul part terre tellement tout est top. La Bique, les légumes, le
fromage, le dessert, la salade, le vin… Tout y est. Chapeau bas…

Retour auprès du feu, les discussions vont bon train jusqu'à ce que
nous soyons appelés pour profiter des bienfaits de la soupe à l'oignon
incluse dans la prestation. C'est lors de ces heures de bonheur que
l'on découvre enfin les visages de certaines personnes avec qui l'on
discute, parfois depuis des années, sur les différents forum. Chaque
membre présent à son histoire, son expérience à faire partager, et
c'est avec du rêve plein les yeux que je retrouve mon duvet, il est 3
heures.

Dimanche, 8 heures, tiens la sono est toujours en route, elle tourne
depuis la veille, et nous a fait découvrir de nouveaux talents. Le
petit déjeuner est servi avec un grand sourire par des potes du
Jeannot et lui-même, qui malgré une nuit sans sommeil sont aux petits
soins avec nous. Je ne sais pas si on le méritait avec le bazar qu'on
avait fait sous le chapiteau le samedi soir…

Démontage des tentes, il commence à neiger. Les plus courageux
poussent jusqu'à la fruitière des Moussières pour faire le plein de
fromage, pendant que d'autres profitent du passage de boucher pour
acheter de la bique salée pour faire des envieux au retour. Les
premiers repartent dans la matinée par peur du mauvais temps, mais au
Molotov, le moral est au beau fixe, nous partirons, comme c'était
prévu après le repas de midi.

Celui-ci sera servi à midi pétante.. Je ne sais pas comment ils font ,
mais au niveau organisation, rien n'est laissé au hasard, ils sont
top. Le repas est à nouveau extra, avec en plus le choix de manger une
saucisse au vin blanc ou de la bique salée, avec tout le reste qui va
bien. L'ambiance n'est plus la même, tout le monde pense au retour.
Pour nous, il sera 13 heures quand nous nous élancerons sur les belles
routes du Jura, non sans avoir dit au revoir à tous nos nouveaux amis,
à Jeannot et Jacquotte et toutes les petites mains qui ont œuvrées ce
week-end.

Nous décidons de remonter sur Lons le Saunier, puis Besançon, et de
là, nous prendrons l'autoroute direction Molotovtown pour être rentré
plus vite.

La première partie du trajet jusqu'à Lons se fera sous une tempête de
neige, sur une route non déneigée, avec des voitures dans les
bas-côtés, et, ma moto qui commence à avoir des ratés… Arrêt sur un
parking, changement d'anti-parasite fourni par Dominique, notre
mécanicien / électricien attitré, sa tourne, ok, on repart. Arrivée à
Lons, il faut refaire les pleins des machines, et voilà que mon voyant
de charge s'allume. Il est 16 heures… On fait les pleins des motos et
des réservoirs additionnels, et au moment de relancer le convoi, plus
moyen de démarrer le K750 au Kick, il faudra l'intervention des autres
pour le démarrer à la poussette. 1 kilomètre plus loin, ratatouillage,
plus moyen d'accélérer, arrêt au bord de la route. La nuit tombe, le
fiston de Gégé et Monique doit être à l'école lundi matin, on leur
propose de prendre la route sans nous attendre, Dominique, Matterne et
moi. Dominique me remplace les bougies, et c'est reparti pour une
vingtaine de bornes. Mon Phare n'éclaire plus, et il devient évident
qu'il y a un problème au niveau de la charge de la batterie. Arrêt à
l'entrée de Besançon, il est 17 heures 30 (on pourrait déjà être du
côté de Bantzenheim…). Dominique, mon sauveur, analyse la situation,
fait un test, et décide de court-circuiter le régulateur pour obtenir
une charge en continu de la batterie. Il fait de plus en plus froid,
et il neige toujours.

A l'entré de l'autoroute, un signal lumineux nous annonce un incident
vers Montbéliard, mais apparemment, rien d'inquiétant. Ma moto roule
bien, et c'est l'esprit léger que nous avançons à bonne allure, nous
allons enfin avancer et rentrer nous coucher auprès de nos petites
femmes qui nous attendent.

18 heures 15, bouchons sur l'autoroute. Plus moyen de bouger. Il neige
tellement, que nous allons bientôt ressembler à des bonhommes de
neige. Une automobiliste nous annonce qu'un camion est en feu. Nous
espérons que Gégé ait pu passer avant l'incendie du camion. Nous
commençons à avoir sérieusement froid, surtout à cause de l'humidité.
Des automobilistes nous proposent de nous abriter dans leurs voitures,
mais dans l'état ou nous sommes, nous ne voulons pas les leur salir. 1
heure de passé, toujours rien de neuf sur le front de l'incendie, je
claque des dents, il neige de plus en plus … C'est finalement À 20
heures 30 que nous avons réussi à redécoller. Le moral n'est pas top…

On ne voit plus rien, il neige tellement, qu'il faut essuyer la
visière en permanence. Enfin libéré du bouchon, on se dit qu'on tient
le bon bout, quand dans la première côte, mon moteur refait des
siennes. Arrêt sur la bande d'arrêt d'urgence, séchage de la bougie,
et c'est reparti pour 10 kilomètres, jusqu'au prochain parking. Là, re
séchage des anti-parasite, des bougies, de la bobine, et Matterne, qui
commence à prendre des châtaignes en roulant, effectue la même
opération. Il fait froid, il fait faim, il fait fatigué, il fait
mouillé, il fait ras le bol. Re-re-re-re- démarrage du convoi pour un
arrêt au niveau de la sortie Anjoutin. Remplacement d'un anti-parasite
sur la moto de Matterne qui ne tourne plus que sur un cylindre.
J'espère ne pas exploser ma batterie avec la charge continue…

Le convoi s'élance en priant tous les saints et les Dieux de nous
accorder le droit de rentrer chez nous. Je ne sais pas si nous avons
été entendu, mais, nous avons pu finir le reste du trajet sans autre
problèmes.

Arrivée à Bantzenheim, il est 23 heures 30. Nombre de kilomètres
parcourus ce jour, 272. Moyenne, 25,9 km/h….

Pourtant, malgré ce retour dantesque, il nous restera un souvenir
merveilleux de ce week-end, et nous pensons déjà à l'édition 2006 du
Jurabik qui a été une réussite grâce au savoir-faire et à la
gentillesse des organisateurs, et à la bonne humeur de tous les
participants.

Merci à tous

Philippe Molotov-y-retourne-en-2006

ça donne vraiment envie... de ne pas rouler en oural!!!

ça à l'air sympa en tout cas, frisquet mais sympa

y'a quand même des sacrés au jurabik...

c'est vrai que ça a l'air salissant comme virée!!!!
le café est en train de bouillir!! faudrait peut-être en faire du neuf!!!!!

c'est quoi le truc qu'il a fait... y a pas à dire mais y a des tarés sur terre !

ça s'appelle un "rats" y en a qui aime!!!!

commando a écrit:

c'est vrai que ça a l'air salissant comme virée!!!!
le café est en train de bouillir!! faudrait peut-être en faire du neuf!!!!!

déjà? ben pourquoi... c'est un bon cru pourtant...

café neuf sur le poele, magneto dans l'étau, manque que cette p... de piste, tous les consss sont en vacances au mois d'aout, même les anglais!!! c'est dingue!
y en a un qui fini les siennes aussi, c'est son immenseté qui devrait reprendre demain!!

y'a des chances effectivement pour qu'il reprenne à moins qu'il ne se fasse une semaine à rien faire...

j'espère qu'il reprend parce que je suis convoqué jeudi pour une réunion de chantier à illkirch

vu dans le G-tout

la bonne occaz de la mort


360 CB, 05/74, 37.615 km, bon état, mais à revoir pour la mise en route, 600 € à déb


un pitit twin bien cool, pas cher

on peu faire ça avec


sympa non?

tout ce qu'il y a de plus simple...

mais là elle passe en catégorie supérieur pour 10cm3 si je ne me trompe pas... et après ça va jusqu'à 750... risque d'être à la ramasse

y'a pas un vieux truc qui traine quelque part dans ce vieux rade?

question : comment tu fais commando pour trouver les bécanes du céquoidonc? tu recherches comment sur gogole? ou alors tu les connais toutes? d'ailleurs ça m'étonnerait pas

uggy a écrit:

y'a pas un vieux truc qui traine quelque part dans ce vieux rade?

question : comment tu fais commando pour trouver les bécanes du céquoidonc? tu recherches comment sur gogole? ou alors tu les connais toutes? d'ailleurs ça m'étonnerait pas

j'y ai joué il a quelque temps sur le RM et je trouvais aussi vite que les mec supers qualés....alors que je ne m'y connais pas du tout en ancienne.
Google est ton amis dans ce cas là. mais pour ceux qui ont grandit avec ça doit etre different

ouai d'accord mais pour savoir comment chercher ça doit etre assez balèze

j'ai commencé à acheter les bouquins moto en 67, c'est ma passion! gogole me sert pas vraiment, je suis pas un spécialiste! j'ai une culture motocycliste assez développé, c'est ma seule culture, on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a!!!

en tout cas bravo!!!

travail et assiduité sont les clefs du succes

arfff

alors, y a un khon qu'a laissé la cafetière vide sur le poele!!! va falloir la laisser tremper dans l'acétone toute la matinée pour la récupérer! sûr qu'après ça le kaoua va avoir un drôle de gout!!!

moi j'aime bien faire tremper des boisseaux d'amal quelques heures dans le café, ça donne un petit gout innégalable